Je ne serais sans doute jamais « transporteur »… et c’est tant mieux 😉


Aaahhhhh les joies de travailler avec des transporteurs, des logisticiens, des chauffeurs… Depuis hier, nous nous sommes lancer dans une folle course poursuite après 2 palettes d’une demi-tonne de documents imprimés qui auraient dû être livré hier au client. Oui mais voilà, c’était sans compter sur le « j’m’en foutisme de certains » et la mauvaise foi/volonté des autres. Bref, depuis hier, c’est le jeu du chat et de la souris… pour retrouver 2 palettes en goguettes. Je vous passerais les détails trop longs et totalement délirants dignes d’une émission de Marcel Bélivot tournée au beau milieu de la quatrième dimension. Bref, hier soir, après avoir enfin retrouver les palettes, voilà t’y pas que l’affreteur nous les bloquent jusqu’à une prochaine livraison lundi matin O_O… Bah oui, si la tournée du jour n’a pas été complètement faite, alors ils reportent la livraison au jour ouvré suivant, le weekend passant par là, on en prenait pour 3 jours de décalage avec au bout, le client qui attendait toujours ces palettes.

Qu’à cela ne tienne !!! Après quelques coups de téléphones et un déplacement au siège de l’affréteur (pour un coup de gueule mémorable), nous obtenions gain de cause et pouvions récupérer « enfin » nos palettes. Charge à nous de gérer la livraison auprès de notre client. Ni une, ni deux, perquisition d’un camion avec haillon, d’un transpalette, de ses petits muscles et zoup… nous voilà partis ce samedi matin pour livrer à 9h pétante le client, sourire aux lèvres. Au final, 1 jour dans la vue à cause de la stupidité et du manque de professionnalisme de certains, mais ça aurait pu être bien pire.

Le plus rageant dans cette histoire, c’est de devoir gérer l’incompétence des autres. Quand vous faites tout pour être dans des délais (certes hyper-short) et que vous vous faites planter par un autre, c’est vraiment pénible… Enfin, il s’agit là encore des joies d’un entrepreneur… mais parfois, on s’en passerait 🙂

Pfffffff faut vraiment tout faire j’vous dis (doh)…

PS. : ce post est sans doute bourré de coquilles, un peu énervé et surtout très fatigué par cette drôle de course, un samedi matin de flingué… j’ai besoin d’un café…


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